Coupe anatomique du pouce humain
en plâtre peint. H : 34 cm

Buste d’Indien d’Amérique du nord
en plâtre, moulé sur le vivant. Étiquette en métal de Tramond rue de l’École de Médecine. XIXe siècle H : 52,5 cm

adjugé 2000 € en 2007

Tête d’homme décapité à la guillotine
Moulage en plâtre. (Éclat au socle.) XIXe siècle H : 35 cm

Masque en réduction de la Vierge du canal de l’Ourcq 1927
Édition en biscuit. H 15 cm
Le dernier portrait d’une jeune fille inconnue, noyée dans la Seine dans les années 1880, devient au cours du XXe siècle un véritable mythe visuel et littéraire. Le visage de cette anonyme que l’on moula à la morgue, parce qu’il fascinait par sa beauté et son sourire, fut commercialisé et reproduit en série avant de connaître un destin artistique plus que troublant. Poètes, écrivains, photographes, s’emparent de cette icône et lui inventent une vie. Parmi eux, Aragon séduit par « cette jeune morte belle éternellement » en fait la pierre angulaire de son roman Aurélien et, à l’occasion de la réédition du livre en 1966, s’adresse à Man Ray qui réalise une quinzaine de clichés de cette inconnue à des fins d’illustration.

Coupe de tête humaine
en plâtre peint. XIXe siècle H 27 cm

Modelage en cire peinte
d’un museau de vache, pour la maladie des muqueuses, sur panneau en bois ébonisé. (Fêlures.) H 26,5 cm

Modelage en cire peinte soclé
d’un pied de bovin. H 19 cm

Deux plâtres anatomiques peints
déformation des jambes chez deux petites filles.
H 47 et 41 cm 19 cm

 

Pin It on Pinterest

Partagez !

Partager cet article avec mes amis